?Cameroun : pourquoi le tribunal militaire bloque t’il l’affaire de l’opposant Maurice Kamto

الحرية تي في - abdoulkarim-OTH آخر تحديث : 30‏/3‏/2019 17:00



Depuis la comparaison avec le leader du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun (MRC) et ses alliés politiques le 26 février, aucune évolution significative n'a été enregistrée dans ce dossier, qui continue de s'achever avec la scène politique camerounaise.

 

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Maurice Kamto, ses alliés politiques et son militant de parti, ont été condamnés à mort. The MRC (MRC) (United Kingdom) devant le tribunal militaire de Yaoundé. Maurice Kamto et ses avocats ont notamment reconnu la compétence du tribunal militaire, en tant que civils.

Le juge d'instruction du tribunal militaire était encore bel et bien apte à la juger. Mais Maurice Kamto, ses avocats et ses avocats exigent que celui-ci statue de sa compétence par écrit, faute de quoi ils n'accepteront pas d'être jugés. «Si le tribunal militaire se déclare compétent, il fait S'il fait, nous utilisons ce document pour engager des procédures sur le plan international; Le ts Faut la voiture RAPPELER, Le Cameroun d' une Ratifié Des Lois Sur Le Plan Tribunal international Qui Interdisent Des Qu'un Civils Militaire Juge », À Explique  Jeune Afrique ,  L'Un Des Avocats De La Défense.

Le 5 mars dernier, a été remplacé par un décret du président de la République. Plus d'une semaine après sa nomination, Misse Njone Baudouin, le juge entrant, affirme n'avoir toujours pas pris connaissance du dossier des militants du MRC.

Une rencontre avec Biya?

Un statut notoire, qui a amené Maurice Kamto à s'engager dans une conciliation politique. Me Éric Dupont-Moretti, deuxième président à la présidentielle camerounaise - il est qualifié de «hold-up électoral» - Paul Biya for a change en face-à-face », soulignait Dupont-Moretti en reprenant le propos du chef du MRC. «Selon Maurice Kamto, celui qui revendique la victoire d'une élection doit être capable de rencontrer celui qui la conteste (...). Ce qui est clair, c’est qu’il ya une situation dans laquelle il a été jeté en prison sans raison, de manière arbitraire et qui a ensuite été arrêté. commenté l'avocat français Me Antoine Vey, co- éditeur par  un magazine international .

« Nous sommes dans une affaire politique. Nous avons suffisamment démontré aux juges que les règles les plus basiques du droit ne permettaient plus à nos clients de rester en prison, mais ils n’ont pas été libérés », ajoute Me Emmanuel Simh, l’un des avocats camerounais de la défense. Il révèle aussi que des recours devraient être engagés auprès de la Commission des droits de l’homme à Genève et de la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples à Addis-Abeba.

Des insinuations politiques qui ont visiblement irrité le gouvernement camerounais, qui a tenu à réagir par la voix de son porte-parole. « Nous demandons à M. Moretti, qui n’est pas venu au Cameroun comme médiateur, de s’en tenir strictement à la mission qui est la sienne, c’est-à-dire défendre son client (…). Le président Biya n’est pas à mettre sur le même pied d’égalité que monsieur Kamto, qui est un citoyen comme tout le monde », a rétorqué le ministre de la Communication René Emmanuel Sadi dans une interview accordée le 19 mars à RFI, excluant l’éventualité d’une rencontre avec Maurice Kamto.

«Il n'a jamais été question de jouer un rôle de médiateur dans cette affaire», rétorque Antoine Vey, l'associé de Me Dupont-Moretti. «On a laissé de côté une possibilité de recours dans une situation plutôt ubuesque. On is on a right this, alors on va tout simplement redevenir avocat », conclue-t-il.

Après 52 jours de détention, l'avenir du leader et des militants du MRC, reste incertain. Alors que de nouvelles élections législatives, municipales et régionales se terminent à l’horizon, qu’il reste parcellée et à la politique, lui, de plus en plus tendu.

«Il n'a jamais été question de jouer un rôle de médiateur dans cette affaire», rétorque Antoine Vey, l'associé de Me Dupont-Moretti. «On a laissé de côté une possibilité de recours dans une situation plutôt ubuesque. On is on a right this, alors on va tout simplement redevenir avocat », conclue-t-il.

Après 52 jours de détention, l'avenir du leader et des militants du MRC, reste incertain. Alors que de nouvelles élections législatives, municipales et régionales se terminent à l’horizon, qu’il reste parcellée et à la politique, lui, de plus en plus tendu.

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